La majorité silencieuse. C'est bien ça le problème. C'est qu'elle est silencieuse et majoritaire. Surtout silencieuse. On peut, on veut, lui faire dire ce que l'on veut. Et comme ce silence trahit son hypocrisie, elle se tait. Peut-être que Kuleshov, avec son effet, ne disait pas autre chose ? Comme on a voulu nous faire croire que le cinéma était muet. Alors qu'il est une histoire sans parole. Langage des signes. De même la politique, qui n'est que du montage.
19 septembre 2010
Bavard silence
à
20:07
Libellés :
effet kuleshov
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