La meilleure définition du dernier Stallone, The Expendables, vient du neveu du Professeur Thibaut : Direct to VHS. Tout est dit. Ca renifle les années 80 à plein nez, avec curieusement, une quasi constante référence à Commando (hydravion, dictature insulaire, compagnon d'arme passé à l'ennemi..., jusqu'à la musique). Mais contrairement au John Rambo qui retrouvait l'essence du cinéma d'action 80's, dans le thème et surtout la mise en scène, ici, Stallone tombe dans les travers du marteau-pilon-rétinal. Vu son âge, pour les scènes de fight, on comprends, mais pour la course de bagnoles, fait chier. Marre des courses-poursuites filmées à l'enjoliveur. Rendez-nous Bullit et French connection. Pour le reste, à part Dolph, ils sont tous mauvais comme des cochons, dans une histoire, non, dans un n'importe quoi filmé par un jeune amateur fan d'un cinéma d'action 80's qu'il a découvert l'an dernier dans un vieux carton de vhs rangé au grenier après le départ du grand frère pour la première guerre du Golfe. On s'est quand même bien marré ; sacré Mickey, si tu n'as pas l'Oscar pour ta scène de larme à l'oeil, sûr qu'on la retrouvera rapidement sur Youtube. C'est meilleur pour la postérité.
16 septembre 2010
Unité délitée
à
08:22
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Expendables,
syndrome marteau pilon
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