Hier, ou avant hier, on a regardé There Will Be Blood de Paul Thomas Anderson. Le film autour de la fièvre du pétrole du début du siècle dernier, le chef d'oeuvre, nouveau classique, dont on avait beaucoup parlé au moment de sa sortie en 2007. Rattrapage. Boursouflure et ennui. Avec tout l'attirail piège à con des films à Oscars. Je me souviens maintenant pourquoi je ne vais jamais voir au cinéma un film oscarisé. Celui-ci : un puits d'ennui grandiloquent. Rien à forer. Ou, comme l'a parfaitement résumé Chérie : rendez-nous Dallas !
3 mars 2011
Ecrit sur du vent
à
08:01
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There will be blood
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c'est drôle, c'est à peu près les mêmes sentiments que l'on avait éprouvés à l'époque. Enfin, on était vachement remontés quand même ...
RépondreSupprimerL'oubli aidant, la boursouflure andersonienne dégonfle, et il ne reste plus rien que le souvenir de l'ennui ...