Predators pour en finir. Il y a quand même une bonne idée. Ce sont les 30 premières secondes. Le personnage est carrément parachuté dans l'histoire. Il se réveille en pleine chute libre, ne comprenant pas ce qui lui arrive, ni où il est, avant de chercher désespérément l'anneau pour déclencher son parachute. Ça c'est une bonne entrée en matière. Le problème c'est que le reste du film est en chute libre et ne parvient pas, lui, à trouver le mécanisme déclencheur de son parachute... Mais n'en parlons plus. On s'est bien marré quand même avec Régis. A posteriori. En repensant à ce pauvre Brody désireux de jouer de son body. Le pauvre semble nager dans ses dix kilos de masse musculaire acquis pour l'occasion. Pourquoi pas un film d'action avec un tel acteur, mais à ce moment-là tu écris le rôle pour lui. Là il est taillé pour Vin Diesel, sans les punchlines qui vont avec. C'est un métier acteur de films bourrins. Et Adrien ne lui arrive pas à la cheville. Quand il gueule « je vais te crever », il semble dire du Shakespeare. Et à la fin, quand il se vêt de boue il endosse le costume d'un Schwarzi trop grand à porter. Dommage, on l'imaginait dans le camp des predators, un campement cheap à la Koh lanta ou à la Lost, ramassant un crâne d'alien et déclamant « To run or not run, that is the question »...
29 juillet 2010
Or not to.
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